En écoutant les actualités, me vient parfois l’envie de fuir loin de cette humanité qui semble avoir perdu la tête : crise sociale, crise de le démocratie dans notre pays, crise climatique, guerre en Ukraine et conflits ailleurs, condamnations à mort dans certains pays… « Les nouvelles sont mauvaises d’où qu’elles viennent » (extrait de Déjeuner en paix de Stephan Eicher). Toutefois, je suis membre de cette humanité dans laquelle Jésus est venu prendre chair. Et ma place est en son sein. Alors en contemplant la nature qui renaît autour de moi, les pommiers en fleurs de mon jardin, me viennent à l’esprit les mots de confiance et espérance. Oui, il nous faut garder confiance et espérance et en témoigner dans notre quotidien, contre toute tentative de découragement. Oui, le Seigneur est là, au cœur ce monde blessé.
L’homme ! ses jours sont comme l’herbe ;
comme la fleur des champs, il fleurit :
dès que souffle le vent, il n’est plus,
même la place où il était l’ignore.
Mais l’amour du Seigneur, sur ceux qui le craignent, est de toujours à toujours.
Versets extraits du psaume 102 que je vous invite à relire…